FA NT1N.LATOUR montrés aux enfants de Buré, comblés chaque année de cadeaux. Et les conversations avant et après le spectacle, et les rires, et les commentaires de la pièce ! rateurs, des artistes qui s’en revenaient en parlant de lui, qui redisaient son nom. Ainsi tout, méme les plaisirs, avait, dans cette maison charmante, la marque des maîtres du logis. Fantin, Mn. Fantin et Mu. Dubourg se préparaient à leur rôle d’impresarii en allant écouter, au Guignol des Champs-Élysées, le dimanche, un acteur dont alors il me dit le nom, qu’il admirait pour son naturel et sa jovialité, et qui ne sut jamais peut-être qu’il avait pour spectateurs, pour admi-Le Paradis es la Péri (Etode pour une lithographie) J’imagine que Chardin, dont Fantin disait souvent le nom, ou Quentin de la Tour (qui fut presque son homonyme) devaient vivre ainsi, ainsi travailler, se ré-créer ainsi. La comparaison avec le maître de la nature morte venait d’elle-même à l’esprit t FIND ART DOC,