J. SA INT-GERMIE R .raint-Marc, peinte en 1496 par (kniile Bellini, et qui a pris place à l’Académie de Venise: costumes, coutumes et décor demeurent à peu près identiques. M. Saint-Germier, que nous avons déjà vu notant les offices de Saint-Marc, s’est fait une spé-cialité de peindre ces cérémonies : les simarres rouges, les énormes cierges, le cortège s’entassant dans les barques funèbres comme pour un défilé infernal, rien de tout cela n’a échappé à sa perspicacité de coloriste et d’observateur, épris du détail rare et significatif. A Venise, c’est donc le tableau qui partout sollicite lui-même le peintre, si bien qu’en cherchant à envisager sous leurs différents aspects les peintres de Venise, la contrainte des souvenirs person-nels s’est imposée de toutes parts ; le e tableau vivant, s’est sans cesse mêlé aux compositions des artistes, dont nous avons essayé d’expliquer et de classer la vision BRUGNOI.1 /’..III-por: