L’ART DÉCORATIF DErEPOri LE Frise de papier peint .Vowak, dans un mobilier de salle :t manger, exécuté en bois d’un ton rosé fort dell cat, s’alliant avec le cuir repoussé qui recouvre les chaises, nous révèle un très grand sentiment d’élégance fine. Des gorges amples, des modelês pleins et sobres donnent leur galbe à ces meu-bles, qui manifestent une recherche sérieuxe. Des petits meubles de salon, même une pelidok. de bois et bronze, indiquent la préoccopniéu des formes élégantes et élancées, des points de décor bien mis à leur place. Un Architecte d’Amiens, M. Amédée Milvoy, qui lutte avec courage pour la diffu-sion d’un art rationnel, expose, dans la salle réservée à l’Union Syndicale des Architectes Français, une cheminée en chêne, entièrement esécutée à la machine, comportant une glace DErP.i io et des incrustations de carreaux degrés de Ligot. Un intérêt très vif réside dans la franchise des assemblages qui sont accusés par un détail motivé, afin de parer au jeu possible des bois. M. Milvoy nous présente encore quelques autres meubles, où la simplicité voulue des moyens d’exécution par la machine aboutit à des motifs de sculpture rappelant un peu l’orne-mentation norvégienne populaire. Cela n’est pas sans saveur. Parmi les stands réservés au mobilier pro-prement dit, on trouvait un choix d’exemples des accessoires de l’ameublement et de la déco-ration sans lesquels il n’y a pas d’habitation achevée. Nous devons mentionner ceux qui ffl I I I I I I I I I I III 22