L’ART DÉCORATIF Bonneville et des fermetures automatiques Baumann, déjà noté chez M. Plumet. Auprès des habitations complètes, l’Expo-sition mettait aussi en valeur de façon très Exposition, de ses belles briques émaillées et d’en mettre en valeur le caractère décoratif, résidant dans leur seule tonalité. Les piliers et les pans de murs qui délimitaient le stand de M. Émile Muller et qui supportaient (les jardi-nières et des figures décoratives, révélaient tout de suite la note de gaieté que doit comporter A. MITA’,/,’ intéressante des détails d’architecture ou des procédés de construction. Lorsqu’on parle d’architecture moderne, on a forcément les veux portés vers la céra-mique, qui y prend un rôle de plus en plus important, sous forme (le briques, de revête-ments, de couronnements, de saillies, de Motifs divers. La Maison Futile Muller avait eu l’excel-lente idée de tirer précisément parti, pour son ra notre architecture moderne, avec l’emploi sim-ple de ces briques colorées de beaux revêtements d’émail, auxquelles vient se joindre l’éclat vivace dôs fleurs fraîches, débordant des jardi-nières, oh le lierre grimpe et s’accroche. Cette union de la céramique et de la flore vivante, de la construction et de la nature, n’est-ce pas un exemple du rapprochement qui doit être éter-nellement tenté ? Dans le fond du stand, des incrustations