L’ART DÉCORATIF que de musique, dont la balustrade est Pavillon de la Restauration, largement formée de clés de sol et de portées où éclairé ‘de parois de verre ; les pavillons de la Source du Parc et surtout de celle de l’Hôpital, gra-cieux rajeunisse-ment du XVIID siècle, et les ga-leries en hémi-cycle qui abri-tent des magasins et qui se rat-tachent à l’allée couverte de la rue Cunin-Gridaine. 1,1■1/,ICKI I.T SI,GUIN Décora ion de la Salle de Spectacle L’immense bâtiment des Bains de première classe, qui couvre une superficie de plus de trois hec-tares, révèle bien tout de suite sa nature. Avec ses étroites fenêtres accouplées, celles du rez-de-chaus-sée ceintrées et encadrées d’un relief nettement marqué dans la pierre, il semble que l’on aper-çoive dès l’exté-rieur la division en cabines. Cer-tains ressouvenirs d’Orient, dans les coupoles et les décorations de céramique, dési-gnent bien aussi des Thermes. La couleur de tout cela est d’un goût excellent. M. L. Woog, sous la direction de M. Ch. Le Coeur, architecte en chef, doit étre particu-s’égrènent des notes, avec une très bonne lièrement loué de ces heureuses conceptions. entente ornementale. On remarque aussi le Dans la pierre blanche viennent s’encastrer I2 FIND ART DOC