du ciseleur ces sortes de rondelles de fer, que quel-ques personnes prennent en-core pour des entrées de ser-rures, étaient les gardes extrêmement solides et bien comprises des sabres dela no-blesse, comme les petites figu-rines d’ivoire ou de bois, auxquelles on s’étonne d’or-dinaire de voir deux trous, étaient les pas-sants qui re-tenaient le cordon de la boite à médecine pendue à la ceinture. Ces broderies carrées, dont nous avons fait des coussins de canapé ou des écrans, étaient la précieuse couverture armoriée du plateau sur lequel le Japonais L’ART JAPONAIS ET L’ART MODERNE è du monde» envoyait son présent à un ami qu’il désirait honorer, et l’estampe enfin était une affiche de spectacle avec le portrait d’un acteur, une gravure de mode ou même une carte de jour de l’anv, car les sourimonos, chefs- d’oeuvre de la gravure japonaise, n’é-taient rien autre. Cette obli-gation stricte de se confor-mer à des usages déter-minés fut sin-gulièrement bien fai sante , semble -‘t – il, au génie des artistes japo-nais;. c’est elle qui développa ce goût délicat et cet exquis sentiment de la mesure que nous adoeirons en eux , sitôt ,./oeu. que nous les correc nos ii •11