L’ART DÉCORATIF L, MAGNE (Exac. par E. Robert) 130,e, de tiroir à fournir une esquisse qui aura de l’oeil ■■, pour employer un terme d’atelier, mais ignorant réellement les exigences et le trai-tement spécial de chaque matière, faute d’y avoir mis la main. Cette exposition prouve qu’il existe au moins un cours pratique, où l’on discute, en face de documents palpables, les possi-hilités qu’offrent telle ou telle matière et tel ou tel mode d’exécution, ainsi que les sys-tèmes de décoration qui sont le plus indiqués dans tel ou tel cas. Le programme du cours se poursuit d’année en année, et toutes les applications industrielles sont tour à tour passées en revue et analysées minutieusement. Après cette éducation, les élèves, mis en ■.).1 III to l’Idque do serrure 34 E. ROBERT Flambeau (u, fo , présence des réalités pratiques, ne se trou-veront plus déroutés. On peut dire aussi qu’ayant servi à former des artisans compétents, les travaux de ce cours, rassemblés ainsi pour le public plus général, poursuivent encore une œuvre pratique. Tous ceux qui s’intéressent au mouvement de nos arts domestiques peuvent aller étudier là des compositions sérieuses, où la forme, le volume, la couleur, le ‘FEND ART