INTÉRIEURS ment d’un hôtel entier. Décorer et i X »%el • • › . i » — -.4 ri l’el d ep le- -4 I I red rd! b meubler un appartement ou une pièce ,,,,,,, IIP..„0″: »7.1″,e eaN, isolée, c’est même souvent se mettre If1.70–e 4/, f toier…..–1, A/ en présence de difficultés locales qui 43, ,_……iiie, ’47’ 1 I 2 Al »! I I 7 n’existeraient pas dans un immeuble .0 Of/ , /I h Piefl, /h stallations partielles oh le fait ne se présente pas : dans les deux récentes construits pécialement. Il est peu d’in-11,/,…., ‘I 0111,/,,,,, i 0 entreprises de M. Abel Landry qui 1)}. ». »(,1 contre lui les tares habituelles des font l’objet de cet article, l’artiste avait maisons dites de rapport : fenêtres étroites percées dans le mur sans aucun souci de l’effet décoratif intérieur, portes de communication étroites et basses, etc… Nous allons montrer com-a. LANDRY motif d, j.,,,.,„ ment il a su rectifier le tout et en tirer un parti excellent. Ces dix ans de travaux constituent moins Les deux installations dont les photo-une ienvre d’ensemble qu’une suite de dé- graphies sont reproduites en ce 111.1111ér0 monstrations isolées. C’est en tout cas un consistent — la première en un cabinet de bel exemple de conscience et d’activité dans consultations pour un médecin dentiste du la recherche d’un « nouveau ii rationnel et quartier de la Madeleine, la seconde en une séduisant. En éparpillant son effort, M. Landry a fait pénétrer un peu de sa pe rson na lité par-tout Cl en tout, dans l’ameuble-ment et dans le luminaire, dans la céramique et dans la tapisse- Ile ii rie. Il a beau-coup prouvé, niais il est resté lui-mémc un peu ignoré derrière cette abondante production.C’cia là, pour l’artiste, le premier in-convénient dus installations par_ belles : elles né révèlent On dé-pense pont ranz presque toUjOUrti autant de talent et d’imagination que dans l’instal. A. LANDRY Bureau