JULES CIIERET de véritables portraits dans l’oeuvre de Ché-ret, sans mémé compter ses nombreuses effigies-affiches comme La Tortojada, Lote Fuller ou Camille Stefani, ou ses dessins d’après It.1.,e Charlotte Wiehe, ou une yuan-Peinture décorative (Salle â mange. de M. ramille, à Neuilly) 9 tité de croquis offerts à des amis. Il s’est plu, dans ses études à la sanguine faites d’après le modèle, les matins, et notant rapi-dement des gestes, à relever les caractères du type français féminin comme s’y coin-