sa Peinture décorai JULES CHÉRET psi pas une loi, niais calme jusqu’à l’inconscience et qu’on ne per-…st une constatation, que çoit pas. On perçoit la montée et la des-la j,■ie ne donne presque conte, c’est-à-dire les états avoisinant le pas de résultats en art. bonheur; mais lui-même est un pôle où «Tous les bonheurs se res- l’âme seule semblent, mais chaque in- peut atteindre fortune a sa physionomie particulière.» Ainsi et survivre, et débute Anna Karénine, un des plus beaux livres que la sensi-qui aient jamai été écrits. C’est peut-étre bilité ne con-nu effet ce manque de physionomie particu- frôle pas. lière du bonheur qui l’empêche de contri- L’art étant bues à l’art que la douleur alimente inépui- fait des con-sablement. Le bonheur est un état dont on trustes de cette se souvient ou qu’on espère, mais où l’on montée et de ne se voit pas vivre : c’est une cessation de cette descente, tout trouble, et par conséquent une cessation il s’ensuit qu’il du sens critique de soi-mérne. Jusque dans n’exprime pres-les paroxysmes de l’exaltation qui offrent à que jamais le certains tempéraments une forme du bon- but lui-méme. heur, il y; a un point culminant qui est Quand il nous FIND ART DOC