N° 49 — OCTOBRE 1002 e des ative LES AQUARELLES DE FRANCIS AUBURTIN reloges décoratives de M. Francis Auburtin ne sont certainement pus 110:0001.02S ans lecteurs de cette revue, auxquels elles Curent présentées suivant leur date d’éclosion. Fluore ne sera-t-il pas su-perflu, tout un concentrant noue :11100000 sur des peintures plus récentes de cet artiste, de jeter un coup d’œil en arrière sur ses productions de ces dernières années, afin de constater avec plus de netteté l’évolutim accomplie par le peintre, de saisir plus clairement les liens mystérieux qui unissent et enchantent ces clisses lus unes aux aunes, 111:11,1.01. 000 d’abord l’embryon d’une idée d’art jusqu’à la pleine éclosion d’un talent. Lis :l’ha/ailes que M. Auburtin exposait au Salon de 1896, et qui lui valut l’amitié de notre cher et regretté .Ars Renan, n’est-elle pas assez apparentée MIN leurres d’aujourd’hui pour qu’il soit nécessaire de la mentionner consiste la première étape vers l’idéal du peintre. Nous y voyons déjà net-tement affirmés deux éléments différents qui tiennent une importance considérable dans son œuvre: la volonté de traiter largement 205 ses sujets, de rechercher avant tout l’har-monie d’une toile, et à côté de cela un amour passionné de la nature et de la mer, prédil,tion qui ira s’affirmant dans toutes les Jeuvrus suivantes. ljne année plus tard le peint, est chargé d’exécuter pour la Sor-bonne 1,11 grand plafond et cc sont encore des ho cons ronciers ,1,2e de grandes forets baigne, par des eaux calmes qui lui in-spirent une oeuvre pas encore très accentuée, mais poétique et har111001011S0 C00010.2 011 111010e du lOr dry Rhin. C’est après avoir exécuté Ce 1001,0a1.1 que l’artiste fait la con-naissan, de Puvis de Chavannes, qu’il 1,000 dit Maitre 10011,i0:1111 et bon maint conseil, et qu’à la chaleur d0 sa sympathie il s’enhardit davantage dans la voie qu’il s’est tracée. Il entreprend alors pour la Sor-bonne Amphithéatre de zoologie une œuvre considérable, l’Aquarium, dont la belle allure décorative n’échappa a personne de ic515 qe comprennent la beauté d’une grande en même temps que les savants appréciaient ici la justesse de la documentation et de l’érudition qui permettaient au peintre de