L’ART DÉCORATIF encore plie: si ni pies dans les moyens d’exé-iiution • ainsi l’épingle aux cinq marguerites àlAILLIE PIAT E, ACIER REPOUSSE ne présente aux yeux d’autres matières que l’ivoire, à part l’or dont sont formées les corolles et les tiges ; dans l’épingle aux capillaires, il ‘n’y a que l’ivoire, sauf l’argent des tiges celle aux algues est entièrement en corne blonde. Les vitrines dont je viens de parler sut-uraient a représenter largement le bijou. Il en u heuucnup d’autres. Je ne citerai que celle de M. Dubret, dont nous reproduisons un peigne et un couvert, cl celle de M. le comte Suau de la Croix, dont les bijoux sont plutôt des travaux d’émaillerie qui ne manquent pas de caractère : seulement ce caractère est oriental, ou africain, ou amé-ricain, ou tout ce qu’on voudra, excepté dans nos moeurs. Quant au reste, c’est la monnaie courante des procédés du jour, des choses qu’on trouve bien aujourd’hui, en attendant qu’elles soient vieillottes demain. Je ne parle pas d’une ou de deux vitrines de bijoux litté-raires, d’un symbolisme transcendant, trop dédaigneux de matérialités telles que les belles pierres, les belles couleurs, les beaux feux et les belles formes pour qu’un mortel ordinaire en saisisse les beautés absconses, pardon, cachées. Je ne quitte pas le département du bijou sans signaler une toute petite et mo-deste vitrine où un artiste dont le catalogue m’apprend le nom, M. Roques, expose une ravissante petite chose, l’oeuvre d’un médail-leur plutôt que d’un décorateur; nous avons plaisir à la reproduire. M. Roques est élève E VASES re C711’S