JUIN 1902 pas superli-* ».• ciellement. C’est que j’ai voulu faire passer le lecteur par les dif-férents états d’esprit qùi, en face de ce que Pori a appelé l’art mo-derne, par-tagent le public en trois caté-goriesnette-dire, l’impression peut être fàcheuse, n’ou- ment tranchées les indifférents, les adver-blions pas, cependant, qu’elle n’est que su- saires, les partisans. Habitué aux sarcasmes perficielle. On a beau être déconcerté d’abord des adversaires, j’ai voulu expliquer en aussi par le défaut d’ensemble, par le manque de tenue et d’harmonie qui caractérise en général chacune deS deux sections; si l’on regarde de plus près, on ne tarde pas à constater (ce qui a bien son importance) que toutes les branches de l’art indus-triel sont représentées aux Salons de 1 — les unes amplement, ciimme la céra-mique, la verrerie, les étoffes de tenture, le meuble, les anus, plus modestement, par exemple la tapisserie , la ferronnerie, l’orfèvrerie, etc. C’est donc que dans chacune de ces spécialités il y a, non seulement des bonnes volontés, mais souvent des artistes de valeur qui se manifestent et qui s’offrent. On va peut-etre deman-der pourquoi, après m’être montré d’abord satisfait du nombre et de la variété, puis pessimiste en ce qui con-cerne l’impression d’en-semble, je viens maintenant essayer de démontrer que les Salons possèdent en dé-tail ce qu’ils ne révèlent e. A. DAMMOUSE Es raie DE VERRE 107 aa, r.v t