L’ART DÉCORATIF fraicheur, la jeunesse, le charme, l’empire M. H rdliel:a ont été dis millions en 1900, de la séduction qui s’ignore — le plus grand et le recueil d’aujourd’hui passionnera tous de tous. ceux qui l’auront sous les yeux. Voilà pourquoi les admirateurs -de G. M. É-sciai:Es. PROF. J IIRDL1CNA UNE INSTALLATION DE CHATEAU GEL est donc celui d’entre nous qui, entrain en locataire dans un immeuble quel qu’il soit — hôtel ou appartement ne s’est pas plaint d’être entravé dans ses goûts d’aménagements artistiques par Vêlai des lieux tel qu’il le trouvait et a uq ticl ne pouvait remédier ? Les plafonds avec leurs corniches et leurs caissons, les murs avec leurs panneaux encadrés de pâtisserie, les glaces de cheminées avec leurs cadres à frontons surchargés ont été bien souvent, n’est-il pas vrai, l’objet de nos malédic-tions; et les décors prétendus riches r, dont s’enorgueillit le propriétaire, nous ont bien souvent donné l’envie salutaire de la 74 EAIPIÈCEAIENT ar CORSAGE pauvreté, ou du moins d’une simplicité beaucoup moins dorée. Comment s’accom moder des inconvé-nients de la construction, lorsqu’on n’est pas maitre de la modili,? telle est la ques-tion qui se pose presque toujours chaque fois que nous prenons possession d’un nou-veau domicile, — ce qui est, on doit bien le reconnaitre, un événement courant de notre vie nomade d’aujourd’hui. L’exemple seul peut nous faire comprendre suffisam-ment de quelle manière elle pelat etre réso-lue; aussi avons-nous été heureux de saisir l’occasion qui vient de nous ‘être donnée par M. Serrurier de voir quel parti on pou-vait tirer, dans une importante installation, des nécessités inéluctables de construction pour créer un décor original, confortable et