J’avisai , derrière moi, un bouton électrique. Je me levai, je pressai… Aucun son ! Je pas-sai à un second; de même! Je poussai, plus loin, le troisième, qui ne fonctionna pas mieux. Tandis que le fou rire me pre-nait, Falguière gro-gnait dans un cres-cendo qui arrivait, aux dernières notes de l’exaspération. u cinquième bouton — j’avais fait le tour puis j’ai à faire à Paris… Nous allons voir de la salle — un garçon arriva. Je vois des bateaux, dites-vous. J’en verrai bien encor,» sa figure. Il était tout glabre et avait d’autres. Garçon — Dieu, qu’il est laid! –les chgyeu, si ras que son crâne paraissait nu; garçon, vite un indicateur: A quelle heure ses yeux étaient sans sourcils. Quand il fut y a-t-il un train pour Paris? — Dans deux parti, Falguière poussa de véritables vocifé- heures. — Bien ! Et quand part la voiture rations. „Non’ est-il laid ! Dieu! qu’il est porte la gare ? — Une demi-heure avant le laid ! il cst affreux il vient droit du bagne. départ. – ❑ n’y en a pas une avant ? — Si, Ah! mon Dieu quel pays’ C’est tout le monsieur, tout à l’heure, il y en a une qui temps comme ça, ici ,… Non, je ne reste pas va art-devant d’un autre train. Bien, très davantage… non, non, et je reviendrai bien. C’est mon affaire. Donnez-moi la plus !… » Je riais et j’essayais de le calmer. note, mettez ma valise et prévenez-moi «Mais, mon ami, disait-il, voyez-moi tout quand elle partira. » ça! Est-ce que c’est possible ! Non, non, et » Mais, du moins, objectai-je, vous avez tout votre temps Déjeunez donc Iran-quillemem» r Non, non, excu-sez moi près de ces mes-sieurs; vous savez, j’ai à faire…. il faut que je voie le mi-nistre. Et puis, voyez-vous, jesuis comme les enfants, j’ai • décidé de partir, je ne serai con-tent qu’il la L’ART DÉCORATIF MM, LI’. ‘1l ANI’ POUR aTARCISIIIS›, TARCISIUS, MARTYR CHRÉTIEN (MUSÉE DU LUXEMBOURG) 1-8 FIND ART DOC