AVRIL 1902 utilisable pour tout appartement, où ces papiers apportent une originalité de décor que les types fournis jusqu’ici par le com-merce ne pouvaient donner. M. Serrurier ne s’était jusqu’à présent appliqué à composer des décorations murales nouvelles que sur des mesures spéciales, en vue d’une instal-lation particulière. Il en sera autrement désor-mais, car la plupart des papiers de tenture que nous reproduisons ici sont exécutés au rou-leau, de telle sorte qu’on puisse les employer pour des appartements de hauteurs diverses, malgré la composition suivie qui règne du haut en bas de la surface murale, décorée par bandes verticales. Prenant, en effet, un rouleau de t I mètres sur une largeur de 55 centimètres, M. Ser-rurier divise ce rouleau, dans sa longueur, en trois, quatre ou cinq bandes donnant des hauteurs différentes M., TÉI,60 se prêtant aux appartements dont le plafond est plus ou MOINS élevé. Il est à remarquer, pour rendre cette combinaison tout à fait pratique, qu’avec chacune de ces hauteurs les proportions du dessin restent les mêmes, c’est-à-dire que la partie supérieure de la bande, formant frise, devient plus ou moins importante pour s’ac-corder avec la hauteur totale. De plus, on peut voir que dans sa partie inférieure la composition ne forme pas bordure; les tiges qui donnent naissance au décor s’élèvent immédiatement du lambris ou de la plinthe qui limite l’espace réservé à la tenture : aussi est-il toujours possible d’adapter à n’importe quelle hauteur d’appartement l’un des trois types de bande ; le décor ascendant se poursuivant sans arrêt, il n’y a qu’à rogner par le bas la faible longueur qui pourrait être en trop. Parmi ces derniers modèles de M. Ser-rurier, il y a un seul dessin qui se termine par un soubassement, interrompant par suite la continuité de la tige montante. Il faut eepekienk .24r–,4irir-et 4e-s% F 4k1;• ‘*1/›. 47, ‘4:44.1±0,4 e e .Atie ‘te k I ‘ 1.4 4//‘ 14, (-7.00.1■•■■ ■ IJ DÉCORATION MURALE AU /AJLIMIR (CUISE)