AVRIL 1902 y) A. A. ‘0( ,CLAMENS net: tous les cadres qui y seraient accrochés : le sujet décoratif du papier peint doit former un thème assez compact, assez brouillé, pour ne présenter de loin qu’une arabesque confuse, restant bien dans un arrière-plan. Un papier peint obéissant à ces prin-cipes reste donc assez difficile à trouver, et seul un artiste réfléchi est capable d’en don-ner de bons modèles. Aussi a-t-on souvent jugé plus commode de choisir pour papier de tenture un papier uni, sur lequel les ob-jets suspendus ne risquent de rencontrer au-cune gêne, aucune concurrence de lignes; et pour faire sa part à l’élément ornemental, on a simplement fait courir sous la corniche fine frise décorée, également de papier peint. Cc mode de revêtement mural s’est assez largement répandu chez nous en ces der-nières années; l’exemple nous en venait déjà de l’Angleterre et de la Belgique, mais ce goût nouveau a suscité chez nos artistes de très gracieux modèles de frises. Assurément, ce système a ses avantages ; il est bon de remarquer, toutefois, que c’est peut-étre un pis aller, pour couper court à la difficulté du papier peint à motif répété, et que si l’on n’a pas un grand nombre de cadres ou d’étagères à y accrocher, un peu de tous côtés, le mur risque de paraître un .20 n np Ex LANTINES