MARS 1902 LEFAURICHON quel tous les élément› diCIE doivent cire tirés. Ce qui donne donc son caractère à la dentelle, plus que la technique de tel ou tel point, c’est la composition même du sujet, la distribution des à-jour et des parties pleines contribuant également à une unité décorative. C’est cette constatation qui a conduit M. Lefaurichon à opérer un mélange entre les procédés de la dentelle et ceux de la broderie par applications, pour des ou-vrages où l’on peut souvent désirer plus de résistance que n’en comporte la dentelle proprement dite. Nous donnons aujourd’hui de cet artiste, qui est un de ceux qui ont su le mieux mettre à profit pour l’art toutes les ressources de leur métier, trois modèles dif-férents : un volant de robe, un chemin de table et un store, où l’on sentira très vite une personnalité dans la conception et la mise en oeuvre du décor. Le volant, composé de boules de neige qui viennent comme s’égrener en bordure, est du plus délicat effet, grâce aux jours ONI I;11( t’ut 1■1)(IN 1■I() LI IIk ILI I k (P)1;1,1