L’ART DÉCORATIF dons, des exemples qu’il propose à nos yeux. «Rien sans art», telle est sa devise. Et, si l’histoire est juste, elle associera la renais-sance des arts du décor au nom de celui que Gallé, son compatriote, appelle si finement d’avocat le plus passionné de leur réhabili-tation, RAYMOND BoVER. PRINCE NOJILSR NARAGEORG,11, Il A PROPOS DE MÉDAILLE ALLONS, cela va devenir amusant Cette exclamation peu distinttuét., mais qui dit bien ce qu’elle veut dire, s’ap-pl iquu ici à la médaille. En pensant à publier sur ce sujet l’étude dont notre collaborateur M. Charles Saunier s’est chargé, et à laquelle sa compétence a permis de donner une envergure dépassant de beaucoup celle d’un article ordinaire, nous n’avions en vue que d’intéresser le public en lui parlant d’un art charmant, pas très connu de la niasse. Nous pensions qu’on lirait le texte sans fatigue, qu’on regarderait les jolies images avec plaisir… et que ce serait tout. Eh bien, nous nous trompions cela ne fait que commencer. Depuis quelques se-maines, nous n’entendons parler que de pré-paratifs des revues de tous pays pour servir à leur tour aux lecteurs de plantureux plats ORFÊTREIZIE ET PIECES D’IN SERVICE D’ENFANT de médailles, d’appels d’entrepreneurs d’ex-positions de toute sorte aux artistes médail-leurs, de personnes avides de posséder quelque belle pièce d’X, d’Y ou de Z. La mode s’en mêle. Espérons qu’elle ne gâtera pas tout. Venant des artistes qui firent d’elle ce qu’on a vu dans ces pages, la médaille est le plus exquis des arts — du grand art de poche. Faite par le premier venu, elle ne serait plus rien. Cette note nous fournit l’occasion de réparer une erreur et une omission. L’erreur, c’est la position inexacte donnée à la Lote Fuller de M. Pierre Roche dans notre illustration. Nous en donnons une nouvelle, avec la vraie position rétablie. L’omission, c’est celle du nom de M. Aristide Barré, qu’un accident d’impri-merie a fait disparaître du texte. On verra, par la reproduction ci-après d’un ensemble 204