L’ART DÉCORATIF CHRIE1-01,1,1, ET C.- ,EU1111, DTA, baignent la pièce d’une clarté pénétrante et délicieusement douce. Autant l’éclairage élec-trique, brillant, éclatant, jette la joie sur les blancheurs et les dorures d’un salon, autant celui plus discret du pétrole semble fait pour l’intimité des pièces oit l’on se repose dans la vie personnelle. Ces observations, quoique d’ordre technique, ont leur importance au point de vue de l’art des intérieurs, qui nous occupe. La pauvreté de l’art industriel courant apparaît — comme partout — dans les lampes répandues dans le commerce. A quelques rares exceptions près, leur forme-type est celle d’un support cylindrique auquel une base carrée donne l’assiette nécessaire ; le réservoir est monté au sommet de ce sup-port. Comme décoration, le support, uni ou cannelé, est terminé par une ou deux mou-162 litres en haut et en bas dans les lampes à bas prix, et la base porte quelques ornements insignifiants venus dans le moule; dans les lampes plus chères, on n’a rien trouvé de mieux que de transformer le support en co-lonne: chapiteau corinthien, ionique, com-posite couronnant le fût… et c’est tout. Quand on ne sait que faire pour dessiner ou orner n’importe quoi, la colonne est toujours Pi. Iloilo, complaisante, serviable colonise, prix MoIllyon du dévouement au dessina-1,11′ indigent’ L’idée ne parait pas même être venue :MN Edhlii,1111S que la variation du galbe du sq}tport on, une source inépuisable de formes, et qu’en y ajoutant LM soupçon d’ornement à la juste place, les procédés techniques les plus élémentaires suffisent ici pour produire un objet agréable, distingué. CHRISTOFLE ET D. LAMPE aPAVOTu