DÉCEMBRE 1901 « 7**. I 1 nire’ -4 ri l » es l’e.-. r ? »‘ -.0— ,, _ v sont connues, parce 4(‘ – qu’elles caractérisent la , production tout entière du prestigieux artiste, se joignent, dans les pro-jets d’étoffes qui nous t , , ‘i’Airo, 7,1 dr ,– occupent ici, le charme délicat, la variété, la profondeur et l’imprévu des coloris. Bien peu ‘f’—– llee elle d’oeuvres sont dignes …isal ‘;/,— … -46/P-741; -7* d’être rapprochées de celles-là; en tout cas, rig 0 A ‘PdfiAltif A •0 y aucune ne réunit autant d’originalité à autant de distinction. ALPHONSI. I-l’ (TIN I / les admirables cartons de M. de Feure. L’ceuvre de cet artiste s’enrichit et se renouvelle avec une fécondité impressionnante. «Il a renouvelé la grâce… «De son caprice d’art, «de la fantaisie de sa cer. « velle, de son génie tout « neuf, une féerie, mille « féeries se sont envolées. « Une création, toute une « création de poème et de « rêve, sortie de sa tète, « emplit son oeuvre de « l’élégance d’une vie sur-« naturelle ». C’est de Wat-teau que Goncourt écrivait cela, de Watteau, le grand poète du XVIIP siècle ; et l’on pourrait croire l’ap-préciation formulée d’hier, sur de Feure, l’un des grands poètes du XX’ siècle. La fantaisie de de Feure a des ailes, et pourtant elle est solide et pondérée; elle se mani-feste en lignes irréelles, et pourtant elle aboutit â des oeuvres saines et simples, où la recherche d’élégance est poussée au suprême degré sans sortir du na-turel. A ces qualités, qui «FORGES LET, L i(7 ALPHONSE LECOMTE. 15