450 LA RENAISSANCE DE L’ t. ∎i -11,1 i HI Il CI blement, une trempe nou-velle pour les caractères et les talents. C’est de là, sans doute, que vient ce relatif commen-cement d’équilibre que l’on constate au Salon d’Au-tomne si on ale visite avec calme et sans prévention en quel que sens que ce soit Nous ne pouvons pas nous écrier : novas rcruin nascilur ordo. Mais nous devons décla-rer que l’espoir en ce nouvel ordre de choses n’est pas trop impossible à concevoir. D’une façon générale le goût de la composition ne prédomine pas encore sur celui du littéral ti d’après HENRI OTTMAN. – LA MUSIQUE. AU LUXEMBOURG. Mu, MARVAI.. LA PORTEUSE DE FLEURS. CL. REX. nature ni sur celui de la déforma t Ion systématique et arbitraire, mais toutefois ce goût de conception et d’ar-rangement s’affirme de façon très heureuse dans un assez bon nombre d’ceuvres impor-tantes pour que cela donne tout de suite au Salon une tout autre allure que celle des précédents. Le dessin devient un expression personnelle peut ètre pas assez souple et sa vante, — défaut de l’ensei-gnement, ou plutôt absence de tout bon enseignement, — mais du moins qui offre (les aperçus, des confidenc ou même d’involc FIND ART DOC