plaire de ce sujet que Goya a traité avec une certaine prédilection. Ce qui a permis à des faus-saires d’en faire des répliques et des imi-tations qui ne trom-pent que les ama-teurs de bonne vo-lonté. Je voudrais pou-voir suivre l’érudit écrivain que je viens de nommer, fils lui-même d’un artiste de grande valeur et de qui les paysages semblent voués à une perpé-tuelle jeunesse; je voudrais, dis-je, le suivre dans ses livres si pleins de documents et d’i-dées. Malheureuse-ment je n’en ai pas le loisir; j’y renvoie les lecteurs et je les prie de vouloir bien se contenter des réflexions d’un spec-tateur de bonne volonté, qui, du moins, avant fait son premier voyage en Espagne il y a une trentaine d’an-nées, n’attendit pas l’entraînement du snobisme, pour sen-tir, de toutes ses fibres, que le Greco et Goya étaient grands entre les grands, — Velaz-quez étant mis à part, et n’étant peut-être pas, après tout, aussi bien compris alors qu’on ne pense, sauf par quelques rares ar-tistes et écrivains… LA RENAISSANCE DE L’ART FRANÇAIS ET LES INDUSTRIES DE LUXE 207 PORTRAIT DE LA REINE MARIA LUISA. (APPARTIENT A S. M. LE ROI D’ESPAGNE). FIND ART DOC