d’étoffes cou-leur de soleil couchant, quel-que gigantes-que brûle-par-fum d’où s’élève en volutes bleu-âtres la fumée de l’encens et, derrière des grilles dorées, au fond du harem,des noirs emprisonnés, dont l’épidmne a cette sorte de ton à la fois mat d :métal-lique de la vieille argente-rie oxydée… La musique qui accom-pagne le spec-tacle est sauva-ge et rythmée: voluptueuse, féroce; elle renouvelle et multiplie les mirages. Elle engourdit, puis anime, de cette fièvre que l’on connait aux yeux des dan-seurs dans ces cortèges noc-turnes sortant de la traversée du désert, et qui déploient sur quelque smik poussiéreux la grouillante traîne de leurs pèlerins exal-. tés… AinM, dans l’esprit, le nom de Bakst se tra-duira long-temps par l’exacte mise en yi._-: • ■ ‘ »‘I »S AS J i LA RENAISSANCE DE L’ART FRANÇAIS ET DES INDUSTRIES DE LUXE L. BAKST. — ÉTUDE POUR LItONARDO, TRAVESTI EN ElibIME. LES DAMES DE BONNE HUMEUR.