sensibles si, comme cer-tains le pen-sent, les cho-ses sont plus reconnais-santes des égards que les gens. Pour les « inviter » à venir chez lui, « Geor-ges s ne mé-nageait point ses peines. On l’a vu, revenantpar exemple de Londres, trouver chez lui une dé-pêche l’aver-tissant que tel merveil-leux objet avait des vel-léités de changemen t d’air, et re-partir sur le champ pour Copenhague ou pour Ma-drid. Quand cette pièce rare était ramenée et ins-tallée à Paris, quelles fêtes I Quelles exclamations ! Quelle fidélité pendant plusieurs jours I Il fallait la regarder sans cesse, l’avoir devant ses yeux pen-dant les repas ! Il fallait en rêver… Les rêves se succédaient ainsi, laissant chaque fois des témoins durables, en cela meilleurs que les rêves de la vie, qui cessent trop tôt, et dont il ne reste, LA RENAISSANCE DE L’ART FRANÇAIS ET DES INDUSTRIES DE LUXE __Atagrel • ,-« ‘Y e.. Fr, te ib /(‘ e .4te-‘ »‘leisir ‘ • . ! • ;. —4′ -4.10. • – 87 exemple no tre gentil et regretté Hcentschel, que des sou- enirs mal rendus par les mots, et qui dispa-raitront tout à fait lors-que ce sera le tour de ceux qui les .,nt parti • • •• _ .‘• ,,Imeeir4srl„… al. • . • % PETIT TABLEAU EN TAPISSERIE D mumirwardir E BEAUVAIS. D’APRÈS BOUCHER. ARSÈNE A LEXANDRE l’ S. —I l’abbé I oui I let ,curé d ‘Ambie r le , nous écrit une intéres-sante lettre :t propos du rétable que nous avons ramis en lu-mière et dont il s’est lui-mème occu-pé avec beau-coup de savoir et de zèle Il se pourrait, nous dit-il, que la fameuse statue en bronze de Michel de Chaugy, qui était considérée comme perdue, se retrouvât dans un caveau existant dans le collatéral de gauche, et renfermant le tombeau du dit sire. Ce serait vraiment la peine de faire des re-cherches à ce sujet. Avis aux Monuments histo-riques. SOUPIÈRE EN ARGENT. — ÉPOQUE DE LA RÉGENCE. A. A. FIND ART DOC