LA RENAISSANCE DE l,’AR’l’ FRANçAIS ET DES INDUSTRIES De LUXE LE CARNET D’UN CURIEUX Le programme de cette dernirre ru-briiiiie est aussi vaste qu’indéterminé. Elle se propose comme but de réunir en l’uriques …Mimes des renseigne-ments de tonte na-. Dire et en aussi grand intuitife pos-sible sur la vie a•-1 isl igue conieniiiii_ raine. Elle rendra comple de tout ce qui se passe. ou se prépare dans les musées, les galeries d’art, ‘tuez les in-dustriels ou b•s inarcliandsmil Fran_ ce et a l’,’•1riiit2er; eon,eillera les visi-tes a taire. défen-dra it•s opinionS. on discutera les len-dartres .pli se rnani-l’estent dans les di-vers et nombreux groupes artistimn•s; en soninie. touchera un peu à tout. CI. ■eira une sorte de re■, lie passée sans inetliode• en foule liberte et avec un absolu éclectisme, de ce que l’on à vu. anInisard des pro-menades, entendu ou surpris dans des con ersal ions. 1..• cinéma a toute 1:1 faveur .111 public: nous l’instituons ici pour la curiosité. Nialrré que nous n’avons pas à notre disposilion le pro-cédé qui donne la ■ ie aux personna-ges sur l’écran. nous serions bien mala-visés ou bien mala-droits si les Illms que !mus présenle-rons étaient. les seuls qui ne fassent pas recette. Ohms les Musées Perlant la prt mière période de la guerre. nos musées étaient demeurés clos et personne ne songeait S’en plaindre; l’intéri,1 bail ailleurs el le, sensal ions d’art .’1:11,•11 peu g,,ni•es d’un public dont Mute l’attention poilait sur le grand draine qui de■eloppail. Peu à peu. on Si’ ressaisit après l’alerte, la vie économique reprit. On jugea que le labeur intense aubirisait à fournir anus travailleurs le plaisir innocent et dominical d’aller admirer quelques objets (l’art. 1)es musées ttlivrtrrill inntl•nwnt I.•urs portes. I..• Louvre avaii. jusqu’à ris der-niers temps. laissé pénétrer dans les salles que les mesures de précaution 1111 peu illie le 1.111i, nest Pas °fleuri. revoliiipourlaisser l’eproilllre salis amn.- peu isi’q• MI’ le charme des belles choses. .q•1 ure de la nomelle rl trrs im-portante donalion -;clilicliting. dont on préparait l’am•na-gem•nt dans le voi-…mage de la rouer – ion 1:Iiiiiichari I. est maintenant remise tu une date ind•ter-11111jo•. 1.11111` la is.ii est replion-Lti• dans le silence. ce qua lie seul Pas Il ire le l’a lune. car on ∎ a iravaill• el .11 y lrasaille en-core beaucoup. ia au .11eis,;,. -lit• f.c. – hmionr, aussi :tilt iule par le sillon en 1,011’S do, 1 l’as ;111X :1111,111111.’S 0’1’111 par de, 1.1.111111eS laissera en :1’11’11 à la pré-seri lai 1. m. all.•ndue, tlitt’Itlit » site. d’ensembles l’art iteciwant da_ I len. Il sera. en el – lel. interessaill constaliT quelles sont les actuelles tendances art ist i-gues ibr rios atlbs dans la ifert irai ion •1 le mobilier, quel-les influences ils subissent. ‘molle part d’invention et d’originalité ils se réservent dans ro-rientaf ion tant sou-haitée vers un style moderne. Quatil au liisee proprement do, II 1.(411111 à ■111.11 1.111 &pins 11′.1s ans. LI.S out .111111′- 11P’ (PP• la – rnllerliou t;randje, 11 prenne plane .lacs la salle qui Itii .’lait tout specialement pré-par•r. lie publie sera lintlefois 1)ien-iil admis à nouveau dans une partie ile la dorsal ion Peyre, compli•enient remaniee el qui fait suite ans galeries .111 premier elage deni•urees seules 1111Vo.1.11`,■ 111.11111S le (11’1W. dl• la guerre. s► Curn(ivalet, quoique démuni de ses plus beaux objets, avait Iléall-nmins bravenlent ouvert les portes de quelques-unes de ses galeries où le w.1 1. — WS MI, *. 1 1 s 11: 1 1 I. I 1.t 1.11.I. I .. 111( SEL 1111.1.1. n’avaient. pas transformél.s ou vidées. Jamais les galeries de sculpture, d’or-dinaire les plus délaissées, n’avaient vu défiler pareil nombre (le visiteurs. Il a sulTi de l’as..rtissernent des Gothas pour replonger provis.orement notre musée national ,lairt une atmosphère de guerre pliis epaisse que lamais. ■;’est une maniere ibe rappeler ii bien des gens qui l’avaient peut-étre 1•1 I 11 11.. FIND ART DOC