30 t.. RENAISSANCE DE CART PRANÇAIS E’!’ DES INDUSTRIES Dit LUXE d’artiste aussi doué que Priait, Cchri qui peut tout, semble se faire un malin plaisir de multiplier si fréquem-ment les occasions (l’exercer des dons multiples que, souvent, l’ébauche reste dans son état provisoire ou qu’une série se termine rarement. Cette impression que, peut-être, l’oeuvre définitive d’un artiste ne se construira • C’est une matinée (le printemps qu’un talent comme celui d’Étienne Drian, une première journée radieuse et traversée de souffles parfumés. Mais, si tous les ger-mes de l’été qui va venir et de l’automne qui mûrira se trouvent épars, déjà. dans un midi d’avril. il nous est bien permis, cependant, de redouter en vivant cette 1)1,..V.NNT GLACE (1.,11■.1V1.*:. I point (tonne à ce qu’il nous est loisible (l’en considérer, une saveur indéfinissable. Si la fleur durait plus qu’elle ne Aure, si le papillon s’apprivoisait, si nuage. s((leil, oiseau, s’immobilisaient dans l’espace. éprouverions-nous encore l’ivresse que nous procure un matin de printemps ! .0I I l∎ I:Ié . DE M.’ journée-la, qu’elle ne soit suivie, ni du pommier de tuai, ni des feuillages de juin, ni de l’épi de juillet, ni de la grappe de septembre. et que ce soit un caprice (lu hasard qui nous l’ait fait vivre. ALBERT FLAMENT. FIND ART DOC