FIND ART DOC, I..1 1;1 11tisANCE liE L’ART FE, •.1 1)). ».>, I UNI. paniers de fleurs, sur fond de satin cerise, si bien que Catherine, char-mée, faisait payer à Per-non tt 30.000 roubles, en argent, chose rare, et qui prouve, note Corberon, la bonne volonté qu’on lui témoigne s. En 1777, Po-temkine envoyant (le la soie grège à Lyon pour qu’on en tissât une étoffe pour une robe destinée à Catherine II — étoffe rayée à la turque, avec des petits dessins » d’or surdoré », — le marquis de Juigné demandait à Versailles qu’on en char-geât un marchand de très bon goût. à Paris, nu le meilleur fabricant L’ÉDUCATION DE — PENDULE BRONZE norir: ET MARBRE BLANC. ÉPOQUE LOUIS XVI. (ANCIENNE COLLECTION P. P. DOENNOVO, PETHOGRAP.) CONSOLE EN BOIS DORÉ. — FIN DL’ XVIII’ sIEtiLL. (PALAIS nk: Tsartsnou sist.o.) de Lyon ; je crois, ajoutait-il, que c’est le sieur Salle o (sic) (1). Lorsqu’après 1780, Ça mille Pernon quitta la Russie, Catherine lui donna le titre d’agent consulaire à Lyon qu’il fut le premier à porter (2). En 1782, le grand-duc Paul et la grande-duchesse Marié Feodorovna firent, sous le nom de comte et de comtesse du Nord, leur célèbre voyage en Europe. Ils donnèrent partout où ils passèrent l’impression d’être très instruits dans les beaux-arts », et la recommandation de Joseph II, à son beau-frère le duc de Toscane, de leur tout laisser voir en détail sans les surcharger d’objets en un jour, en choisissant tout ce qu’il y a de plus curieux et (le plus intéressant, » les suivit de proche en proche. Membre d’honneur de l’Académie des arts. amateur, comme sa mère — et ce fût un de leurs rares points de ren-t .„Ire — du style à la grecque R qui tournait 1 plus en plus à l’imitation de l’antique, le nis Catherine ne séjourna pas moins de trois mois en Italie ; il demeura trois semaines à Rome. A Lyon, où le jeune couple, commen-çant à s’endetter, dépensa près d’un million, le Consulat fit aux grands-ducs les honneurs de la fabrique lyonnaise et leur présenta les (I) All. Et. Paris. CarreNp. de Russie. t. lut. (2) A. Ponlebart et L. Chatel, Camille Peru«, Lyon T•-•.-. P. 24.