LA RENAISSANCE DE L’ART FRANÇAIS ET DES INDUSTRIES DE LUXE ur,‘ Nil ,v ‘1(0• MOU( Ill 1:121/N/1 1.111n•, • 1% LI 1)1, st 11V11.1Z111,1. (.1 I si ,r;.%N I 11,t,■ f 101 ,,eurov, PÉrbeoG)t,%1) Nullement refroidie par cette déplaisante vétille, Catherine faisait commander à peu prés à la rame époque, à Sèvres, par son am-bassadeur à Pari,„ 1111 service tout en ti nou-velles forini.s régtilières IessouVenucs de l’antique, qui fut le célèbre service tt aux ca-mées à fend 1)1(.11 céleste, imitant la but ioi,c e service pour lequel le prince Bariatinski -t• rendit presque chaque semaine :1 SI’vres. fut exécuté de 1771, à 1779, et su, 7 1 1 pl, – (putti- ho entIV■•11 -.alti compter h., ,tirtout,, furent pavée, 1>;S livres. En métne lump, qu’il en transmettait la commande au prti liariatinski, Potemkine tit également com-mander à Paris un service à dessert en ver-meil, aux armes de Catherine 11 ce service. de toute beauté, fut l’ieuvre d’un orfèvre dont on ne connaît que les initiales : C. A , Après des tentatives opiniâtres pour em-baucher des ouvriers lyonnais et des effort, multiples pour soutenir les fabriques de soieries établies en Russie. l’impératrice, prévenue par les bonnes manières du t, petit Pernon décida à faire tisser des tentures en France. Vers 1772-1773, Philippe de la Salle, déjà connu de la souveraine par l’exécution de son r I ■ B. de l’adker- 1111. II:1, de l’or/m. de ‘■ .11. 1’ 1. pereur, ppe 1,1. .16 et t 11 pp. s’Zrre,r,. portrait que recommanda Voltaire (1770), dessinait et mettait en carte pour les Pernon son impres-sionnant chef-d’oeuvre, la tenture » aux paons et faisans. » Il s’en retrouve encore de précieux débris sur des meubles des pa-lais et chez dos particu-liers. Pernon, observe le chevalier de Corberon, fi voyait grand » et put fi faire de bonnes affaires. » A la fin de la guerre de Turquie, il chargea son collaborateur des étoffes dites de Crimée, aux aigles baignées da soleil ou lançant la foudre (1774). Il lui fit exécuter encore une étoffe brochée à colombes et liURFAU–+ECKÉTAIRE El l’EN 11l11.1 « 1:1):1*.: III, ItIwNZ1,.. PAU DAVID It01:1);’1*GEN (1786). (mUsiA: tn. t P