. »7,4)-.. »4-,…..-Areeery,4-,4-ereyweee:/747724-474;44-4re 4 ri r„, -.U4P4C. ‘4.tr MAS-RELIEF EN BRONZE DORÉ AVEC LE MÉDAILLON DU GRAND-DUC PAUL PETROVITCH, PLUS TARD PAUL Pt. (PALAIS DE GATCHINA.) L’AMEUBLEMENT FRANÇAIS EN RUSSIE AU XVIII` SIÈCLE L()MUE, dans les dernières années du règne d’Élisabeth, déjà atteinte dans sa santé • et à la-quelle la Cour de France avait envoyé tin médecin, Ivan Chouvalov, deman-da à l’Académie de peinture et de sculp-ture dé. Paris des professeurs pour l’Académie dés Arts qu’il venait de créer, le marquis de Mari-gny envisagea le pro-blème avec le plus grand Sérieux. Il savait l’habi-tude de «galanterie» déliUrée dàns la-quelle était Louis XV vis-à-vis de la tsa-rine; il savait direc-tement par les fa- • miliers de sa soeur, la marquise de Pom-padour, entre autres par les ambassa-(DEUXIÈME ARTICLE). !! ‘ ‘ – – KleeKelik ,Y11111. ,tchaixo. . BONHEUR-DU-JOUR, DÉCORÉ DE PLAQUES DE PORCELAINE DE SÈVRES. (GRAND PALAIS DE PAVLOVSK.) deurs en Russie, la Chétardie et L’Hô-pital, que les Russes ne sont amoureux que de ce qu’il y a de plus nouveau en tout ordre d’idées; il n’ignorait pas que la grande-duchesse Catherine Alexéiév-na, dont la person-nalité -marquante commençait à per-cer, ne leur cédait en rien sur ce point-là; et, enfin, jeune intendant des Bâti-ments, récemment revenu de son voya-ge en Italie, il était trop intéressé à la promotion d’un goüt nouveau pour hési-ter le moins du monde Les artistes que Marigny désigna suc-cessivement, Louis Le Lorrain (à défaut de Vien et de Michel-Ange Challe qui se FIND ART DOC