L’ARCHITECTE Fm. ia. — Mnisou sa saurin u SAINT.LJUARE PAR.. Plan du cinquième étage. — E.au farte, architecte. Fm. — M,USONimiumér, ga Plan à rez-de-chaussée. — ee• SAiAT-LAAAna n Paul, at✓arlat, architecte. en staff et complétées par un ameublement colore, la rampe en fer de l’escalier a !té forgée par le ferronnier Robert, qui l’a décorée de motifs inspires du pommier de Normandie. Les parquets sont 5n chene dans les pièces de réception. en sapin dans les autres. Chaque chambre â coucher est accompa-gnée d’un cabinet de toilette alimenté en eau froide et en eau chaude. L’étage de combles ne contient que les chambres des deux ou trois domestiques dont le service peut être nécessaire pendant la nuit: les autres gens de service habitent une douzaine de piêces disposées dans les communs. ainsi que les garages et écuries. Ces derniers bâtiments sont reliés à l’habitation principale par un passage souterrain qui aboutit à la rue et permet au service de se faire sans circu-lation dans.le jardin. La propriété est enclose de palissades percées de portes normandes en charpente rustique, couvertes en haume. La dépense totale monte à roo.000 francs en chiffres ronds pour une surface construite d’environ po métres superficiels. PLANCHES X à XII. — Maison de rapport. 82 rue Saint-Laarc à Paris. — E. JARLAT, archi-tecte (s.a.o.c). La Société a La Séquanaise», dont le but est de favoriser la petite Gpargne, vient de faire construire sur les plans de M. ja.rlat deux immeubles rue Saint-Lazare, à Paris: l’un au numéro 74, qui sera son siège social et sur laquelle nous aurons pro-bablement à revenir un jour, et l’autre, au 81, for-ma. maison de rapport. L’immeuble comporte sept Otages sur caves et sous-sol. A raz-de-chaussée (fig. di), le vestibule largement uvert et décoré de niches et pilastres traités e o n stuc par MM. Julliot, Jouannaud et Sereine (planche XI), donne accus à l’escalier dont la rampe a été forgée par M. Dumontier. Le reste comprend un grand hall voué qui ne s’étend qu’a cet étage et qui est loué commercialement, et des boutiques qui occupent la façade. Aux étages sont disposés des appartements dont les pièces principales, bien proportionnées, donnent sur la rue, et quint pourvus d’une décoration plu-tôt académique etsode tout le confort moderne. La façade (planches X et XII), est flanquée de deux bow-windows que le retrait des derniers étages (fig. 15), a permis de couronner de dômes carrés. Elle a été fort bien exécutée en pierre dite a banc royal de Méry » par MM Pinardon, pour la maçonnerie, et Bate, pour la sculpture. Elle est traitée en Louis XVI modernisé, avec une opposition marquée entre les parties nues et les parties sculptées, entre la robus-tesse du soubassement et la léger-cté de la partie supérieure. La dépense de la construction ressort â 1.45o francs par métre superficiel.