L’ARCHITECTE prévoyance et dé-ploie une activité des plus méritoires si l’on considère qu’elle manque d’appui légal; la création de la ré-glementation des monuments y est poursuivie depuis longtemps, et S. E. le baron von Helfers s’est voué à cette œuvre. Un projet de loi élaboré en ce sens au: nistère des Cultes et de l’Ins-truction, amendé par une Commis-sion des Monu-ments historiques et artistiques, doit être prochaine-ment présenté aux deux Chambres du Reichsrat; ses dispositions, dont les limites sage-men t étendues méritent l’appro-bation la plus en-tiêre, érigent les principessuivants: ta Est sous la protection de l’État, l’ensemble des tous les mo-numents artisti-ques et historiques dont la construc-tionremonte à plus de soixante ans; x° Sous la pro-tection spéciale de la loi projetée seront placés tous les monuments historiques ou artistiques dont lac onservation est d’insérés public tant à cause de leur importance au point de vue de l’histoire nationale, de l’histoire de l’art ou de celle de la civilisation, que de leur caractère esthétique. S’appuyant sur ces principes, la loi établit la clas-sification suivante: I. Monuments à la surface du sol: A) D’intérêt public, savoir: Fm — Mm,oN n n COMPAGNIE ASIATIQUE, n COPENHAGUE (Figure ex■reite de l’ouvrage e Che :800., pi, I’. Al NTS, F. Bruckmann, éditeur.) la Monuments immeubles; Monuments meubles. B) Sans insérés public. Il. bionuenenis enfouis dans le sol: a) Recherches. b) Fouilles. III. Pénalités. IV. Dispositions exécutives. lA suivre:. ENSILE LONGFILS, Architecte diplôme par le Gouvernement.