L’A R C H ITECTE 69 on n a pas à craindre le a Itou » dans la repro- duction. La machine occupe seulement l’emplacement d’une table de o66o sur J 65o environ. Le mouvement d’en-trainement est obtenu par une petim d) niimi a H aperçoit, sur la figure, au hes ine vitesse du moteur peut être réduite de façon à obtenir une durée d’im-pression plus ou moins considéiqble. La figure 57 représente un appareil du mente genre du docteur Siim (hollan-dais). Comme le précédent il comprend un cylindre de verre à l’intérieur du-quel sont disposées une, deux ou quatre lampes à mercure. Le papier sen-sible et le calque à repro-duire sont appliqués contre le cylindre de verre eu moyen d’une large bande de feutre qu’on aperçoit en avant de la figure. Les rhéostats des lampes sont disposés sur une des deux joues en fonte qu’on voit à droite et à gauche de la machine. Sur la joue op-posée sont montés un petit moteur et un ventilateur. Le moteur commande, par l’intermédiaire d’une tige verticale et d’une vis sans fin, les rouleaux sur lesquels passe la bande de feutre et provoque la rota-tion de la machine. Le ventilateur placé en bout envoie de l’air froid suivant l’axe du cylindre, de façon à refroidir l’aunes-phere autour des tubes des lampes à mercure, pour éviter leur extinction. Le papier à imprimer est laissé ordinairement en rouleau, mais il peut également être découpé au préa-lable. La vitesse de rotation du cylindre de verre est variable, grâce au rhéostat de réglage de la dynamo qui permet de l’augmenter ou de la diminuer. Dès qu’on est fixé sur la sensibilité d’un papier photogra-phique et sur la transparence d’un papier calque, on donne à la manette du rhéostat la position corres-pondante qu’on a pu aisément repérer à l’avance par des observations antérieures. !;impression est terminée quand le calque et le ps.der ont parcouru Un t000 entier autour de l’axe du Fsim,uve en le calque tombent alors dans nne Mite disposée ldidi.ilee mit on sont enroulées a :mutai.) sur d, s ct lm — 00iS convenablement disposes. 16h. 6,. — FRAIDAIGI Laverr DU I AC e. ruts. — Vue de côté de la façade principale. et Eu,. architectes. Nous avons dit précédemment qu’on pouvait dis-posesi à l’intérieur de l’appareil un, deux ou quatre tubes à mercure. Lorsque la tension est de I Io watts, ces quatre tubes sont montés en parallèle; lorsqu’elle est de 220 Watts, ils sont mutés par deux en série. L’allumage de ces tubes se fait en les basculant de façon à faire court-circuit entre les électrodes au moyen de gouttelettes de mercure. Les dimensions de l’appareil sont de 166o X o’n60 et sa hauteur est d’environ o67o. Il peut se placer