68 L’ARCHITEC, 3. Appareils automa-tiques. Nous décrirons trois de ces appareils r » La machine amé-ricaine Everest; 2. La machine hollan-daise Siim; 3. La machine an-glaise Halden. Les deux premières emploient des lampes à mercure, la dernière des lampesà arc. La machine améri-caine Everett représen-tée par la figure 55 permet d’obtenir des photographies d’une fa-çon continue. Le schéma (fig. 56) in-dique le fonctionnement de cette machine : elle consiste en un cylindre de verre A sur lequel s’appuient une série de courroies étroites, telles que es, n, p, g, qui pas-sent sur les rouleaux R , R., RI, R•. A l’inté-rieur du cylindre et parallèlement à son axe sont disposés deux tubes à vapeur de mercure. Un réflec-teur C D occupe le quart environ de la surface de ce cylindre et réfléchit la lumière à l’intérieur, de sorte qu’on dispose sur tout le pourtour du cylindre d’une plage lumineuse absolument uniforme. Le rouleau de papier à impressionner est placé dans une boite à la partie supé-rieure de l’appareil. En se déroulant, le papier passe sur le rouleau R’ et vient s’engager entre le cylindre de verre et les courroies. Les calques sont insérés entre le papier et le cylindre. Ils peuvent être reproduits sur une seule feuille de grande longueur, quise déroule en même temps que le papier photographique, ou être découpé en morceaux de grandeurs diffé-rentes. Le papier photographique s’im-prime dans le trajet autour du cylindre et vient ensuite tomber en même temps que les calques dans une boite appropriée. Le papier photographique et les calques sont très fortement appliqués sur la sur-face du verre par la tension des courroies, il n’y a aucun glissement, par conséquent )= Du -IREZ= oe= CHRMÉL FIG. N. — FRAMPIGUES, VILLA au mien 711ec Leméu. — Plan du ver de-chaussée. A. Laverrière em sucg. Monod, architecte,. -41)RN DU 1m ETHGE_ Fm. 6o. — FRAIMIGUES, V■L, au BORD DU Les Lenau.. Plan du premier étage. — A. Laverrière et Eug. Monod, architectes.