L’ARCHITECTE lande); Gaston Trélat (France); et Ludwig Zfillner (Allemagne). Les conférences portaient sur les sujets ci-après t. Étude comparative et critique des règlements de constructions des villes: Berlin, Londres, Paris, Rome, Vienne, par M. le professeur Julius May-roder, de Vienne. n. Principes de l’architecture moderne, par M. le professeur Fellner von Feldegg, de Vienne. 3. Photogrammétrie dans farchilecnire et l’entretien des monuments, par M. le pro-fesseur Ed. Dolegal, de Vienne. q. Droits d’auteur de l’architecte, par M. le D’ Sandor Erbs, de Budapest. 5. Monuments de la Dalmatie, par M. Ivecovic, de Zara. 6. Construction des villes et rapport avec le sfslenie législatif, par M. Eugen Fass-broder, de Vienne. 7. Esthétique des constructions d’in-génieurs, par M. Klette, de Dresde:. 8. Rapports entre l’architecture et le peuple, par M. Stefan Fayans, de Vienne. g. Rapports entre la propriété et la liberté, par le cav. Raffaele Sasso, ingénieur â Naples. heures de la journée, ces durées d’exposition sont notablement augmentées, et il faut attendre quelque. fois deux ou trois heures pour obtenir en hiver un tirage qui nécessite quelques minutes seulement pen-dant la belle saison. La lumière solaire a un autre inconvénient—: si le ciel vient à s’obscurcir pendant l’opé-ration, la durée d’exposition se trouve modifiée, et il arrive quelquefois avec du papier sensible que les praticiens les plus habites n’arrivent pas à gra-duer exactement la durée des temps de pose. Il en résulte à la fois une dépense de papier sensible, une perte énorme de temps et une irrégularité dans les résultats. Pour remédier d ces inconvénients on a cherché à remplacer la lainière solaire par la lumière artificielle et particulièrement par la lainière élec-trique. Nous allons décrire quelques-uns des appareils qui ont été imaginés dans ce but, Nous les diviserons en trois catégories D Appareils employant les châssis-presses ordinaires 2° Appareils avec châssis-presses circulaires; 3. Appareils automatiques. Ae Nous rendrons compte successi-vement des principaux de ces divers points. rA suivre, E,Illat LANGUI.. Architecte diplônM par le Gouvernement EMPLOI DE LA LUMIÈRE ARTIFICIELLE POUR LA REPRODUCTION PHOTOGRAPHIQUE DES DESSINS On peut diviser les papiers photographiques indus-triels en deux catégories: les uns, à impression rapide comme le ferro-prussiate, donnent ordinairement des traits blancs sur fond obscur; les autres, â impres-sion lente, fournissent des traits foncés sur fond blanc. La durée de l’exposition est très variable elle dépend en effet de causes multiples, comme le degré de transparence du papier du dessin. l’intensité des traits, la nature de la composition chimique sensible à la lumière. D’une façon générale, on peut dire que la durée d’exposition varie de 1 à 5 minutes pour les papiers de la première catégorie et de 5 à 3o minutes pour ceux de la seconde. Lorsque le ciel est couvert ou lorsque le tirage se fait pendant les dernières è L’S Sit r° Appareils employant les cluissis-presses ordinaires. Ces appareils présentent l’avantage de pouvoir substituer instantanément la lumière artificielle à la lainière du jour. Ils sont ordinairement constitués par une lampe électrique munie d’un large réflecteur parabolique, qui descend parallèlement au châssis. La figure 46 représente un de CeS appareils : la lampe à arc est disposée suivant l’axe focal d’un réflecteur parabolique dont les bords viennent à quelques centimètres seulement de la glace du châssis. Le réflecteur et la lampe sont suspendus à une potence placée contre le mur. Ils descendent verticalement en entrainant un contrepoids relié par un câble â un tourne-broche qui régularise le mou-vement de descente. La figure 48 esprésente un appareil qui utilise les remarquables propriétés photogéniques de la lampe à mcure. Les deux tubes sont placés parallèlement génératrices génératrices d’un cylindre parabolique formant réflecteur, en arrière duquel est disposé le rhéostat de réglage des lampes. Le tout est monté sur un cha-riot qui glisse le long de deux montants verticaux en entrainant un contrepoids placé â l’arrière. Le chariot mobile et le contrepoids sont reliés l’un à l’autre par une chaise Galle qui engrène avec