100 L’AMOUR DE L’ART Locus Les Lemoyne. Edil. Les Beaux-Arts, 39, ne La Boétie, Paris. .11. Louis Réas,, dont on connaît l’érudition et le soin, nous donne sur la dynastie des Lemoyne 11n ouvrage en sous points excellent, illustré de fort belles refît,- dot-lions. Les trois Lemoyne Jurent, non de grands maîtres, mais des sculpteurs de valeur, dont les bustes réussissent à être à la fois agréables et vrais. 1,a compa-n raiso de Jean-Baptiste 11 Lemoyne avec La Tour résume fort bien les qualités el les défauts de son F. F. IRERT 11ESNARD ET GEORGES Wri.DF,NSITIN. La Tour. ledit. les Beaux-Arts, 3, Ylle I, Boétie, Pois. Albert Besnard a écrit, dans cet ouvrage, un essai sur La Tour el le pastel qui est lucide, vivant, remPli d’idées ingénieuses el originales. A cet essai, :IL Georges ll’ildenslein a ajouté an catalogue de Peru-sue de La Tour, qui est une merneille d’érudition. Rien n’y ‘signasse de ce qui Ruche au Peintre de .Saint-Quentin. Tous ceux (pli (11,00 il culer de l’n de dix-huitième lui en seront reconnaissants : car il v a là .1 Iii dedocti-111,111S, triés al classés avec un soin impeccable. Les reproductions, qui dépassent de beaucoup la moyenne, nous restituent Arec une grande fidélité les inoubliables Portraits du peintre. M 1NET. Lettres du Jeunesse. lidil. Louis Rouant el Fils, 6, .Saint-.Sullsice, Paris. Tous les admirateurs de Vouet doivent lire ces lettres écrites lot un entant de dix-sept ans qui découvrait la mer, el l’e.volissne. IA préfacier a bien raison d’en louer D charme, la distinction, et la sensibilité. On le voit s’enivrant de soleil et de couleurs, et, sans qu’il s’en doutât, se préparant à peindre rOlympia. La Présenta-tion, comme tout ce qui édité par les soins de Rouait, est parfaite. F. F. ALBERT M 1VSGS. LIES Temples dut Japon, architecture et sculpture. Edil. E. de Boccard, e, rite de Médicis, Paris. M. Maybon, à qui l’on doit entre autres un excellent et précieux ouvrage sur le théâtre japonais, nous décrit dans ce livre les temples du Japon, en homme qui pos-sède à fond son sujet. Quarante-quatre magnifiques Planches ajoutent à l’intérêt de son exposé. F. F. l’AGI:GUILLAUME en Tua. MUNRO. La sculpture nègre primitive. Editions G. Crès et Cie, uI, rue de Sèvres, Paris. Ce Petit livre, qui contient d’excellentes reproductions, Pourra rendre des services à tous ceux qui s’intéressent à l’usa nègre. Les auteurs art tenté de nous donner une c.rpliClIlian plastique de l’art nègre e Peut-être n’y sont-ils hnint lot à fait Doyens.. Leurs idées esthétiques, dont quelques-unes sont discutables, auraient gagné à être evtritnées sous nue forme Plus nette. Il n’aurait Pas non plus été inutile, pour aider à la compréhension de l’art nègre, de le rapprocher de certains autres arts Primitifs, l’art océanien et l’art pré-00I0Mbien, par exemple. – JEAN COCTEAU. Vingt-cinq dessins d’un dormeur. Editions Illgrmod, Lausanne. Celte nouvelle œuvre, seille des Presses d’Henri-Louis Mermod, est présentée avec une simplicité qui est un chef-d’œuvre de goût. L’introduction de Cocteau est, corniste d’habitude, l’explication de ce qu’il a voulu faire. Ces vingt-cinq croquis aimables auraient Pu se Passer de commentaires. F. F. Dans le numéro de l’écrier, notre collaborateur Gaston Varenne a cité les verreries de M. Raymond Hunebelle. D’accord avec M. Hunebelle, M. Roger Cognéville nous prie de signaler que ces verreries, exposées ruse de la Boétie, sont de M. R. Hunebelle et de M. R. Cognéville, tandis que les magasins ont été installés Par M. Lévêque, architecte, et Par M. R. Cognéville, décorateur. Le Gérant F. SANT’ ANDREA . IMPRIMERIE DE CONIPIEGNE.