64 L’AMOUR DE L’ART P. PELTIER. – NU A L’ÈTOFFE JAUNE. l’étoffe jaune le prouve. Levino est toujours le paysa-giste sensible que l’on connait ; sa marine est supérieure à celle qu’il exposait au Salon d’Automne. Des deux natures mortes de Mario Tozzi, je ne sais laquelle il faut préférer, si c’est la. Mappemonde ou la Mandoline. Je crains que l’art subtil de Barbara Roustan ne soif en train de se dessécher et c’est dommage. Qui est S. Bailli (c’est du moins le nom que j’ai lu, et que je n’ai malheureusement pas retrouvé au catalogue), qui expose deux toiles d’une couleur très rare et d’une LEVINO. – LUMIÈRE. HARBOE. FEMME COUCIIE. composition imprévue C’est Par la composition égale-ment, ainsi que par des qualités de couleur, que se distingue la grande toile de Jean de Botton. Il a su, aux horizontales de ses Personnages, opposer les verti-cales de la jetée, des bateaux, et amener peu à Peu le sPectateur,,Par, une sorte de zig-zag, jusqu’à la ligne d’horizon. Ses Nus à la rade me paraissent en grand Progrès sur sa toile du Salon d’Automne. Auprès de lui, je tiens à citer P. Robert Bayle, à cause de sa figure de femme avec un chat siautois. D’autres encore, méritent de l’être, et je m’excuse de ne faire que les nommer : Juliette Juvin, Madeleine Luka, Littlefield, vonne .1Iondin, Luc Mikhail, Jane Tresch, Terechkovitch, Thomsen, Campigli, ITAKULLA. S. A. – LA CHAISE NOIRE.