52 La collection Courtauld ne se-rait pas complète, si l’on n’y trouvait aussi le nom de Seurat. Nous voyons donc de ce mystérieux ar-tiste pour qui s’est éteint si vite cette lumière dont il jou-issait plus que tout autre, la Poudra/de, exposée au sixième Salon des Indépen-dants, en 189o, le Pont de Courbevoie, de 1886-1887, le Port de Gravelined, 189o, et une es-L’AMOUR DE L’ART l’ORE ‘3IOR fE I VO, I I si. quisse pour /1;,. Chahut, de 1889. C’est sur cette vision de pure beau-té, de sensible cé-rébralité, que nous quitterons la col-lection Courtauld, quitte à y revenir d’ici peu, non seu-lement pour décou-vrir les nouveaux enrichissements qu’y apporte cha-que année, mais aussi le lot des dessins, suffisam-ment nombreux et intéressants p o ur former une étude à part. Marie DORMOY. Photo., Librairie de F PAH,. mANEr IIE moNEr. FIND ART DOC