1.1 RI ) I S COTT.IGES 111 P.ic FONTAUNES ET SCULPTURE DE JARD11NS AUX SALONS de 1926 Est-ce une illusion ? Il semble que jamais les sculpteurs qui peuplent de leurs sta-tues les nefs de nos Salons n’ont, en aussi grand nombre que cette année, pensé à l’orne-ment des jardins. En tout cas ceux qui, avec le plus de bonheur, y ont pensé sont des jeunes, de vrais jeunes. On trouve là une double indication précieuse. D’abord sans vouloir blâmer les artistes particulièrement désintéressés qui appliquent leurs efforts et leur argent –la sculpture coûte cher — à réaliser d’importants morceaux sans destination immédiate ni même probable, on peut voir avec satisfaction les jeunes se tourner de préférence, vers des