arts de la rue) dans la présentation des objets de luxe; de la parure, dans les illuminations et l’ordonnance de quelques fêtes. Cependant l’absence de goût que manifestent certains organisateurs de fêtes, la pénurie lamentable d’art élémen-taire où vit le parc des attractions sont flagrants. Les arts de la rue, si on les regarde dans leur immobilité de musée, au Grand Palais, ne valent donc pas grand’ chose. Ils sont intéressants si on les suit dans l’usage que la foule en fait les jours de fêtes ou d’affluence. Certains points de l’Exposition, comme l’E..1,1111 possèdent des éléments admirables en soi, mais que rien ne coordonne. Les quatre tours fleuries et massives, illu-minées et qui chantent, sont le soir quelque chose d’admi-rable ; si on les voit derrière les deux énormes pots-à-eau de Sèvres, au-dessus de bâtiments bas et écrasés, elles perdent leur valeur esthétique. Et, justement, les deux vases de Sèvres sont ce qui jus-tifie le mieux toutes les diatribes ; placés au milieu de l’Esplanade, ils coupent toute perspective ; que l’on pénètre dans le jardin qu’ils ornent, ce devient une chose fort acceptable et’ il suffit d’une photo pour qu’on les trouve agréables. nie RICHARD. RENÉ•HEEBSi DECORATION BOUSIQUB 1.46.4, 11.1n mcurrecv, 11.0Ur(Q. 1. DUI,S, ARCILITECTE 0OUTIQUE 1.12.13 3