LA BOURSE eer q e marte ee nuil el que revit le jou, e’oq,.xalle eo qualidienne bataille Da banque eauvreat re.. eee. BOIS porre Les .• VILE. eau.° er =nouer, eoereves SIRS. DL VALBE—BAVAL1LEBAL. LABOURERA B. Bo BOA repérage, dont les éditeurs Carteret et Ferroud sont les représentants, est moins en faveur qu’elle ne le fut il y a vingt-cinq ans. Jeanniot, qui vient d’illustrer âprement Les Dieux ont Soif, après Les Paysans, et Adolphe, son chef-d’oeuvre; Ch. Jouas, La Cathédrale (Blaizot), Goerg, Gromaire, Marie Laurencin, André E. Marty (Scènes Mythologiques), (Le Livre), T. Polat,Mémoires d’an Rat (Dan Nieské), Ch. Dufresne, V. Prouvé, Les Centaures (Crès), Asselin, Rien qu’une lemme et La Mort de quelqu’un (Crès), Chapront, Jacques Simon, Camoreyt, Achever, Bouroux, sont les porte-drapeau de la morsure, à laquelle s’adjoint naturellement la pointe-sèche, avec Chahine, I,obel-Riche, Malo Renault, Ach. Ouvré, A. Derain, Coubine, Lespinasse, plus brillant dans le bois, Jean Lurçat, Dunoyer de Segonzac, l’as de la jeune gravure, etc. Le burin libre a été revivifié, dans l’estampe, par Jean Frétant et par Bernard Naudin, J.-E. Laboureur l’a appliqué au livre. On connaît la formule de cet artiste. Il allonge, déforme et simplifie. Ce n’est plus la nature, mais une idée n à l’expression de laquelle la nature doit, comme un langage, se plier. Laboureur est essentiellement graveur, il possède le sens de la page et ne tombe jamais dans le banal ou le commun (L’Apparte-ment dés Jeunes filles, Beauté, mon beau souci, Tableau des grands Magasins, The dent in kyr, eau-forte et burin). J.-E. Laboureur, qui a commencé par le bois, n’y a pas renoncé (Chansons Madécasses), et y a ajouté l’eau-forte (Supplément au Voyage de Bougainville, aquatinte) et la lithographie en couleurs, ainsi que nous l’avons dit plus haut. D’autres illustrateurs ont adopté également le burin, procédé au reste assez difficile, notamment 11LM. Daragnès et Jean Hugo. Lr,„o Lon, zoo, °R c.LREEL, CB. VEREN. neLtea ex a.., eDrreoes Quant à la lithographie, tout le monde en fait, ou va en faire. Après Carrière, Steinlen, Lepère, Louis Legrand, Léandre, les éditions Vollard, qu’illustrèrent P. Bonnard, Maurice Denis, et qui maintinrent la tradition de cette technique, plus faite, toutefois, pour l’estampe que pour le livre, nous rencontrons F.-E. Colin, Contel, Reboussin (La Revanche du Corbeau), J. Marchand, Marc Chagall, Siméon, Vlaminck, Picasso, Dufy, Hermine David, de Togorès, R. Drouart (L’Arne et la Danse). On remarquera que nos illustrateurs ne se canton-nent pas dans un procédé unique et qu’ils s’essaient dans tous, successivement. Ils ne leur sont pas tou.; favorables au même degré. t-OR .•,c+pAn -7-51 DE. COIRE AR RIOM, BOITERA 66 .*. Nous ne voulons jeter, sur la reliure, qui devient, de plus en plus, le domaine du grand luxe, qu’un coup d’oeil d’ensemble. Une analyse détaillée nous conduirait trop loin et serait, dans beaucoup de cas, un simple exercice de littérature, tant il y a de voisinage dans les talents. Rendons d’abord l’hommage qui lui est dû à Marius Michel, de qui est parti le mouvement moderne de la reliure. On aurait souhaité que la plus large place fût faite à e.++7.7.1g.,w » » » cet initiateur et que ses yeux d’octogénaire pussent se fermer sur une consécration légi-time. Hélas! Il n’a pas même une vitrine, qu’il partage avec son successeur Cretté, et nous ne voyons de lui que deux ou trois spécimens Les Fleurs du Mal, Le Livre d’Heures, de Louis Legrand, La Cité des Eaux, de Henri de Régnier. qui montrent pourtant que le vieil artiste savait se renou-veler et se « mettre à la page., avec la modération toutefois que commande l’expérience.Celui qui a beaucoup vu sait com-bien se brisent vite les essors trop audacieux.