Pd. XeD PIANO. LOUIS SOGNO, EDITH PAR •• PRIMAVERA de Mme Chauchet-Guillere, de Burkhalter ils ont le ln& d’une parfaite sobriété. • L’Ambassade qui fut, comme on sait, confiée aux artistes de la Société des Artistes décorateurs, forme un ensemble composite, mais par la valeur des collaborations qu’elle a réunies, c’est aussi le lieu de toutes les recherches et la synthèse la plus poussée. Dans la partie réservée aux grands appartements lia réception), le vestibule est l’ceuvre des frères Selmersheim, le bureau-bibliothèque a été composé par L.-H. Boileau et Carrière, le petit salon par Dut rêne et la  » Maîtrise « , le fumoir par Jean Dunand, le maître des laques, le salon Dar Rapin et Selmersheim, la salle à manger par Rapin. C’est, dans l’autre partie (l’intimité) que nous trouverons le plus d’idées originalement traitées. Vient d’abord la salle de musique, oeuvre de Sézille, puis le hall de Mallet-Stevens, le salon de Domin et Genevrière (Dominique), le fuMoir de Francis Jourdain, la salle à manger de Georges Chevalier avec les meubles de Dim (Joubert et Ph. Petit), le bureau de P. Chareau, le hall de collection de Roux-Spitz, l’exquise chambre d’enfants de Lucie Renaudot, la chambre de Monsieur de G. Chevalier et Jallot, la chambre de jeune fille de R. Gabriel, le boudoir et la salle de bain de R. Prou et Bagge, la chambre de Madame, de Groult, et l’antichambre de Follot. I,’un des plus gros efforts et l’un des plus réussis, c’est à coup sûr le complet et magnifique ensemble composé par cet artiste pour le groupe Pomone. Mais Pauvre de Follot, d’un luxe si authentique, d’un goût si sûr, mérite à lui seul une étude approfondie.. • Nous sommes sensible aux pièces présentées avec un art parfait de discrétion par les ateliers « Primavera  » dont nous aimons la salle à manger et le cabinet de Guillemard, la GRAND SALON. RUHLMANN’. chambre de Sognot, pour leurs meubles aux lignes sobres et nettes. La  » Maîtrise » nous donne l’exemple d’un art somptueux, témoin cette bibliothèque revêtue y compris le plafond d’un placage d’acajou drapé et cette salle à manger de Duf rêne, en stuc vert avec sa table en fer forgé. Le Studium-Louvre est représenté par d’heureuses com-positions de Kohlmann, de Fréchet, de Lahalle et Levard et de Djo Bourgeois. N’oublions nas de mentionner les très beaux meubles de Joubert et Petit, exposés dans la boutique de Dim sur le pont Alexandre. Rt renonçons à signaler tous les meubles de destination particulière, mais d’un intérêt considérable qui figurent au Grand Palais ou dans les diverses sections (exemples :