estimable société n’ait eu en son heure but louable et action utile, à preuve cette Déclaration des Droits r pèlerins à roulettes : le, le luxe après. :Usinier qui se considère comme un ouvrier n’est pas digne de sa profession. ère les fagots, quelques bonnes bouteilles pour les connaisseurs n’est qu’un gargotier. rames peignées. Le Club des Cent se refuse de descendre chez les hôteliers qui emploient des gens aux accents bizarres. en Italie, les Français en France. au personnel filoute ses clients. s W.-C. d’où elles sortent pour faire du grand tourisme à la cuisine. ‘ec des .ingrédients frais : des légumes frais, des œufs frais, du beurre frais. Le Club des Cent exige bon patron, rarement un bon gérant. iuteuils Louis XV. bonne cuisine. eole. les à manger où chacun semble disputer le pain et le sel, où les regards déshabillent la femme qui vous arithmétique des plats présentés est de plus en plus fréquente. Je copie pour les amis quelques noms de l’établissement digne d’atten-près Nantes. s, près Angers. talion, Estaing, Nantes, Lyon, , Vonnas, Châtillon-sur-Seine, mole, Villefranche-sur-Saône, es. villes opulentes où les moeurs esprits sont parfois précieux annonces prétentieuses et des r un restaurateur digne de ce de la cuisine. Je ne demande rg, Nantua, Lisieux, Saulieu, este tout paré dans l’air immo-ieure de la sagesse où déjà les sablement au tableau. Si le joncs et des saules, où plongés, Irons le volant jusqu’au soir. , ses mails. Les odeurs du soir rendent certains petits bourgs ort les écharpes, les valises, on s de fleurs, devises, chambres iits de l’hôtel, pour la tristesse tays, j’aime mieux notre Paris. Une terrasse du Morvan attend les automobilistes AIIIIIVEE… PHOTO MARC REAL