O 13. G eÿ ce ce cc ce-c. Ce =cc cc cc t; +A ÇD le G Ui LI OP R 9, P, % UV YZ 23..,S 782’îl 8 49 çft e e, , 1 khi t) D D H pa-/-_Lozzzi C%éi-vm-zel N. que je vais dire des bêtises. Tout le monde ne peut pas jouer les Hercule aux pieds d’Omphale, avoir la grâce des pages tombés en quenouille ou posséder le savoir de Tante Lucette qui sait si bien expliquer à ses abonnées et lectrices, en subtile grammairienne de la broderie, les différences essentielles des trois passés, qui sont, comme chacun sait : le passé plat, le passé évidé et le passé empiétant. Et pourtant il va falloir que sans jamais avoir tenu une aiguille — sauf au régiment pour recoudre mes boutons et encore les fixai-je au fil de cuivre ce qui est plus simple et plus solide — je parle congrûment des « TRAVAUX DE DAMES s. La manie du travail à l’aiguille apparaît chez les fillettes généralement bien avant l’âge de raison. Un premier jeu consiste à tresser une sorte de chaînette de laine à l’aide d’une vieille bobine au haut de laquelle sont plantées quatre épingles. (Et j’allais 273