250 La chambre, ma l’été Confine les ors de sa gloire Une brise tiède friss Et creuse d’argentines mari re,; Sur la chatte aux yeux de d Qui, sinueuse et longue, c lent boire Dans le vase des ané COMTESSE de NOAILLES. ê -eg 9 ît–g—eir=4-7 e’C–:=•r • /201—. 13e)