il ne faut personne derrière soi qui tompro-met le l’intimité de celle sonore : on peut ad-mettre tout au plus quelques passagers ocra-si dans le baquet arrière : un chauffeur. des amis, des chiens. On ne les a pas avec soi mais dans son sillage. Ils c pleut à peine davantage que la 00000 ssiere que l’on soulève. Une voilure d’égoïste alors? Oui. si l’égoïsme c’est de vouloir etre seul avec son plaisir. Ft. ceci admis, il faut bien convenir qu’un cabriolet est d’autant plus beau que son châssis est plus long el son moteur plus puissant. ‘Foute la place que licui un attelage de bœufs. tonte la force qu’il faut pour tirer un train, accaparées g le contentement d’un seul etre ou de deux. quel plaisir aigu Et g ‘ 1 si féroce qu’on serait lente de le croire. FO-ce donc les seuls occu-pants qui profitent de la beauté de ce capot fuyant, de celle proue allongée dont la ligne est congrée en son milieu par ce qui est sa raison d’élire et qui semble etre là par hasard ? Car. par rapport à la masse de la voiture, le cabriolet proprement dit a l’air de quelque luxueux accessoire. James de COOLFT. Cal»riedel de -Maurice redus. e pl graphe. ses progrès. tout ce qu’ils ont de surprenant : personne n’oserait auj •- d’hui nier une réussite dont il n’est plus besoin de parler longuement. Nul ‘s ne se passe sans s apporter des séries de disques où s ret1.0111 ons. désormais loupé rissable, tout ee dont nos oreilles s’enchantaient si jusqu’ici, au théatre, au c Voici les jazz de Whileman 011 de Jack iivIton, voilà Mme Ni- Vallin et s sas 0111011S déjà les plaisirs d’une molle exquise, voici Alexandre Kipnis: avouons noire ignorance qui sera, d’ailleurs. on ne peut plus lite dissipée. Nous scr’ fort_ empèchés d’aller écouter à Bayreuth un rital.-