Nature ttttt rte par Derain. Lorsque Itruegel eut atteint l’âge de vingt-cinq ans, il quitta la boutique de son mailre, Jet.’ Cook, rendez-sous des amateurs d’art, OÙ les artistes balayes, flamands, rhénans et italiens se mou /raient leurs essais, discutaient des théories elles sous l’enseigne symbo-lique: o Aux Onagre Vents Ce Jlér’ • Loch, bien moins peinilt•e que marchand de tableaux, exécutait. lui-meure. de breuses planches d’après les tableaux de son frère Ilathieu el de Camille Alelsys, Pierre Aerlsen et Jet. • • Ilosch, dont son magasin était garni, possédait une fille dont Ilruegel se Irait amoureux. tl quitta cependant Anvers, sacrifiant à la coutume (hl terni»: qui voulait 52 qu’un artiste jeune et vigoureux prenne la route et s’en aille jusqu’à nome chercher la lumière. Il partit en 11551. Il séjout•ne deux ans en Italie, el l’on trouve trace de ses séjours à It , dessine: s’il t’Id 1111 temps influencé par l’esthétique du pays: peut-on (lire que l’oeuvre de Bruegel se jrattache l’Ecole de Picasso vient à Paris à la fin du siècle. Il retrouve dans les dessins de Steinlen qui sont exposés aux nmcs des cafés montmartrois et sur les couvertures des illustrés, dans la pein-ture de Lautrec, un esprit qui correspond à ses – inqUiet udes personnelles momentanées. Peut-on