rampes lumineuses, en maintenant toujours la source de luuuiere cachée à Pull. Je les emploie simultanément à doses variables selon le monu-ment à éclairer. Les rampes que je luis courir sur les aretes me servent en particulier à corriger la lumière frisante des projecteurs qui, sans cette interven-ir traduiraient les hiloires saillies d’une sculpture par de vastes ores déformantes. Je leur fais, d’autre part, souligner les lignes essentielles de la construction, ce qui la rend lisible à de longues distances et inscrit dans l’espace leur schéma lumineux sans avoir la sécheresse éblouissante des m’eaux aux dents desquels brillaient les th ‘ches de gaz. Les rampes servent aussi à produire un effet inverse en soulignant les reliefs là où le projec-teur direct et surtout à distance d une ‘mindere trop uniforme qui tend à écraser les saillies. Des monuments comme l’Arc de ‘Triomphe e portent des rampes d’une intensité lumi-neuse de 1.000 I gies par mètre. Les ments (le moindre hauteur. des intensités va-riant entre 3 à S00 1 gies. Encore faut-il que cette lumière soit dirigée de l’alvin convenable et qu’on obtie • le n’avina mmmmm d’effet s. Or, la source lumineuse peut précisément avoir des effets très variables selon la maniere dont on s’en sert. »embuais quelque temps l’éclairage extérieur des mmmmmmm muent.; et les effets d’illuminai’ dont je viens de parler se sont imposés à l’attention des intéressés. Mais il y a, dans ce domaine, énormément à faire encore, du p t de vue publicitaire notamment. Il parait nettement acquis qu’on puisse tirer de l’électricité (les effets 1.2 d’ill ination sans rapport avec les effets des lanternes véni-tiennes qui ne sont stores de gar-der leurs anciens privile4es que là où il n’y a ni , ts qui valent la peine d’étre éclairés, ni mouvement de terrain qui puisse servir d’écran. JACOPOZZI.