des •s, elles peuvent avoir n’importe quelle disposition qui conviendra à l’architecture. Mais toutes ces solutions ne peuvent etre absolument économiques, car elles exigent un nombre assez élevé de lampes de faible puis-sance, alors que s l’efficacité n de celles-ci aug-mente avec leur puissance. L’éclairage indirect par sources localisées devra donc généralement etre préféré. L’Eclairage indirect par sources localisées. Je rappelle e l’éclairage indirect par coupes suspendues ou sur pied (ligures ti et 7) ou par appliques (figures s et 10) qui f0111, ‘lissent une solution excellente à tous points de vue, et dont l’emploi ne présente aucune diffi-culté technique. Mais on peut’ réaliser ‘des éclairages [ plus subtils 110111i voici:quelques exemples : La figure 10 représente • coupole dans laquelle on a percé 1111 nombre restreint de hublots en verre strié dispersant dans le sens latéral. Derrière ces hublots se trouvent des projecteurs qui éclairent la portion de la conte qui se trouve en face d’eux. OH peut rappro-cher de ce dispositif celui de la ligure 11 qui s’applique à une pièce de plus petites diluer’. si )))) s. Enlin, on peut faire usage de véritables opti-ques de phares qui donnent Un contrôle rigou-reux de la luiuiére et qui permettent de ce fait d’éclairer un plafond de (Mucus’ s pratique-ment kôhl- ‘•s, en ray011ti rasants (figure 12). Oit peut ainsi, sans aucune modification de l’architecture, réaliser l’éclairage indirect d’une pièce basse de plafond. L’éclairage indirect par sources localisées est très I • tredve aussi onéreux que l’autre sys-tème d’éclairage indirect, el comme il permet une incorporation presque absolue de l’éclairage à l’architecture, il constitue dans la majorité des cas le système le plus cec andable d’éclairage général. JEAN DOURGNON. oireeleur de In Soeielé pour le perfeelion» aaaaa eut de rieleirage. LES DOCILNLENTS DE CET .411TICLE NOUS SONT CO: MUNIQLES PMI LN SOCIÉTÉ POI’fl LE PER FECTIONNENI ENT DE L’ÉCLAIRAGE Go