Car vraiment et sous nos yeux, que ale choses se sont tra nsformées. et avec elles, 11011S aussi, el lias besoins et RIOS 1111e111.S1 Dans ) dialogue platonicien, une part re-vient au aliste. Celui-ci épiloguerait tout à son aise sur une constatai’ qui s’impose à tous, à savoir que la lumière abat chaque jour de vents Cloisons, qu’elle pénètre partout, supprimant ces tel 4′ bure, de silence et d’intimité où s complaisions naguère encore. Ce n’est pas seulement nos magasins, nos restaurants, nos palaces, nos établissements publies que lions l’11yOUIS ouvrir les vannes au flot des éclairages torrentueux et e mmmmm muniquer par de larges baies avec la rue elle-mente irra-diante. C’est en effet dans nos demeures aussi que nous voulons etre eelairits comme en plein jour: Et celte ami huile des hommes d’aujourd’hui a vivre 1 • ainsi dire à tout tut eu pleine lumière, n’estimez•vons pas qu’elle implique un 1 leversement prodigieux de nos psychologies? s vivons sous des cieux oui les jours longs sont les plus rares. où la vie active et en e11111111011 se déroule aux heures et dans les liteaux où l’éclairage artificiel est de rigueur, où les tonalités que fon recherche 1 • c po ser des ha• ‘ ts, soit dans la décorati mm inté-rieure, soit dans la toilette, sont presque toujours prévues et combinées en f •C de l’éclat intense des lampes électriques.— liais qu’ou y réfléchisse un peu. mente sous l’effet des plus puissants sunlights ». jamais la lumière produite n’est e pa•able a la lumière naturelle. Elle est d’une autre espèce et régie par des lois particulières e me tout ce qui touche à 1’1 mmmmmm me ou vient de lui. L’artifice ne va jamais sans l’art. Et il est curieux de voir e mmmmm tuent et au prix de quelles difficultés nous arrivons à s ace ler de forces à la fois tout à fait étonnantes et pourtant imparfaites. La source lumineuse — ami le ou tube incandescent – offre ce précieux avantage d’une lumière obtenue sans flamme, parlant sans dan-ger d’incendie, mais l’éclairage à vif présente l’inconvénient. surtout I • des raisons spee-traies, d’élire affreusement nuisible à la vue. Tout le problème a done consisté et consiste encore à chercher et à trouver des matières ou des dispositifs qui corrigent ces fâcheux effets. En temps, les progrès ont été assez lents. C’est celui qui s a donne ces ridicules appareils É•lairaze bbla ras du soi pal• des s mmmmm bineuses. imités des bronzes d’éclairage de style lampes juives ou r aines, lustres à branches ou can-délabres – ou encore, ces lampes enrobées d’abat-jour d’étoffes multicolores où s’ingéniait le génie tua • Peu à peu, on a vu surgir des éléments déco• ratits d’un goal plus affiné. — vases, boules, faïences converties en lampadaires — mais que s classerons. sans les rejeter, tant il en est d’aimables et de lices, dans le d aine du bibelot. C’est G.. de Pa wlowski. je crois qui dans une de ses spirituelles chroniques d t on apprécie vol • ers l’h u mmmmmmm r et la malice. s’ toujours